The End Of the F**king World:
la bizarrerie à ne pas manquer sur Netflix

Voilà seulement 10 jours que cette nouvelle année 2018 a débuté et déjà Netflix enrichit son catalogue d’une nouvelle mini-série anglaise, The End Of The F**king World. Cette création originale cosignée Netflix / Channel 4 et sortie le 5 janvier, se compose de 8 épisodes au format court. Un road-trip noir pour ado grinçant et délicieusement inhabituel que Brussels Is Yours a binge-watché en seulement 3h00 (durée totale du programme).
The End Of The F**king World : le pitch
«Je m’appelle James, j’ai 17 ans et je suis presque sûr d’être un psychopathe.» C’est ainsi que se présente James, véritable archétype de l’antihéros. Depuis sa plus tendre enfance, James ne ressent aucune émotion, il est asocial, n’aime pas son père et tue des animaux. Désormais, il souhaite tuer quelque chose de plus «gros». Alyssa, rebelle sans filtre serait la proie idéale. Elle déteste tout le monde, sauf son père justement, qui l’a pourtant abandonnée lorsqu’elle était toute jeune. James a quelque chose de spécial. Un beau jour James vole la voiture de son père, Alyssa le suit. Il va la tuer c’est sûr, elle va tomber amoureuse, c’est sûr. En route vers «The End Of the F**king World».The End Of The F**king World, c’est avant tout un roman graphique

The End Of The F**king World (Roman graphique)